Portefeuille de Super Pognon / mars 2012

Environnement boursier du mois de mars

Quelques chiffres clés :

• Cac 40 : 3 423,81,
• Dow Jones : 13 212,04,
• Eur/Dollar :1,33,
• Euribor 1 an : 1,42%,
• Tec 10 : 2,91%,
• Pétrole (WTI) :  103,04$.

Stabilité relative des bourses mondiales et du $/€. Baisse des taux courts et stabilité des taux longs.

Répartition du portefeuille

Toujours quelques intérêts et dividendes ce mois-ci. Quelques achats en obligations. Hausse de la part obligataire et baisse des liquidités et actions.

Un peu moins d'effet de levier 

Les remboursements des mensualités réduisent lentement l'effet de levier. A noter que les parties liquidités et obligataire du portefeuille couvrent intégralement la part crédit.

La composition du portefeuille actions

Pas d'achat. Je transfert de nombreux titres vers mon PEA. Je ne compte pas ces mouvements. Ces transferts vont me permettre de faire un peu le ménage dans mes titres.
Vivendi déçoit énormément. Dividendes en titres. Canal+ renie ses engagements en n'augmentant pas ses dividendes. Je pense m'en séparer dès le marché me proposera des conditions que je juge favorables.

J'étudie le renforcement possible de plusieurs petites valeurs comme PVL, VET et GIRO.

 La composition du portefeuille obligations

Achat de SG TMO. Je suis à l'affût sur de nombreux titres TSDI cotant à 50% de leur nominal. Mon objectif est d'avoir des instruments financiers pour jouer une potentielle hausse des taux avec un levier (CMS10 X 2 = achat de TSDI cotant 50%). Le plus bas était de 40%, je considère que je peux perdre maximum 20% dans la pire des situations. Le niveau correct est selon moi 60%.

Je me prépare à vendre l'obligation Alcatel si le rendement brut atteint 6%.

Performance du portefeuille

L'indice de référence pour comparer ma performance par rapport aux marchés sera composé à 70% d'un tracker actions (FR0010655688) et à 30% d'un tracker obligataire (FR0010754119).

La valeur nette du portefeuille au 30/03/12 est de 183 801 €.


 
En terme de performance mensuelle, le portefeuille superforme la référence depuis le mois de décembre. Le mauvais market timing est difficile à rattraper. Les bancaires, très présentes, n'ont pas aidés à remonter la pente pour le moment, tout comme les telecoms.